UN NOUVEAU CADRE ET UNE ÉBAUCHE VIRTUELLE

UN NOUVEAU CADRE ET UNE ÉBAUCHE VIRTUELLE

C’est en visitant le site web de Norco que j’ai déniché un cadre de Section en… chromoly Reynold’s 725. Ben oui! Du chromoly.

Voici la suite logique de mon dernier blogue. Je vous parlerai donc de cadre de vélo et de projets de voyage à vélo en devenir. Les deux aspects abordés ici comportent toutefois des tournures inattendues, l’une financière et pratique, et l’autre, disons, sociale. Mais tout d’abord, je suis enchanté de vous dire que je vois maintenant parfaitement d’un œil et que la chirurgie pour l’autre, le droit, devrait avoir lieu sous peu. J’y vois enfin plus clair et en profite pour saluer la sympathique et jolie Aude, une collègue de travail, que je n’ai même pas reconnue la dernière fois que je l’ai croisée. Comme elle semble me lire, elle était au courant de ma situation et m’a pardonné cet impair. Un petit clin d’œil à ton égard donc, chère Aude, sans jeu de mots.
Dans mon dernier blogue, si vous l’avez lu, je vous ai raconté avoir fissuré le cadre en carbone de mon Trek Domane. Je vous ai aussi mentionné ne pas trop savoir si je m’en achèterais un neuf. Or, j’ai tout de suite entrepris les démarches pour lui trouver un cadre de remplacement auprès de Trek en suivant la démarche officielle proposée par Vélozophie. Vous trouverez tous les détails de cette démarche sur le site web de la boutique. Bref, Trek m’a en effet fait une proposition plus que correcte compte tenu que j’étais l’unique responsable de mes déboires. Or, je n’ai pas réfléchi plus longtemps qu’il ne faut car, en toute honnêteté, je me suis retrouvé devant une alternative: choisir un cadre en carbone neuf, coûteux malgré tout, ou bien investir dans de l’équipement dont j’ai besoin pour mes voyages à vélo, dont une tente neuve. J’ai opté pour la deuxième option, mais n’ai pas pour autant mis une croix sur un nouveau cadre, bien au contraire.

C’est en visitant le site web de Norco que j’ai déniché un cadre de Section en… chromoly Reynold’s 725. Ben oui! Du chromoly. Beaucoup de cyclistes boudent l’acier sous toutes ses formes depuis l’avènement de l’aluminium et du carbone. Or, si on n’est pas, ou n’est plus esclave du poids de notre bécane, le chromoly retrouve ses lettres de noblesse. Moins cher, tout en étant souple et résistant, le chromoly comporte surtout l’avantage de pouvoir être réparé, sans trop de chichi. Pas étonnant que ce soit le matériau de choix des cyclotouristes qui, bon an mal an, y attachent paniers et sacs de toutes sortes, chargent leur bécane, pour ne pas dire la surchargent. Le plus beau dans tout ça? C’est que grâce à l’équipe de Vélozophie, j’ai pu y transférer les composants du Domane, pédalier, guidon, étriers, etc., et ce vélo se retrouvera tout de même chaussé de ma superbe paire de roues en carbone Aeolus XXX de Bontrager. Après la déception vient donc la satisfaction de me retrouver avec un autre vélo «d’endurance». Que voulez-vous? L’idée de me résigner à ne posséder qu’un seul vélo «de route» me chicotait au point de nuire à mon sommeil. Bon. J’exagère un brin, mais quand même…
Ah les voyages à vélo! Vous font-ils rêver? Moi, oui. Je ne pense qu’à ça, ou presque. Alors que j’adore voyager seul, ce n’est pas toujours idéal pour bien des raisons. Toutefois, voyager en groupe, voire simplement rouler en groupe, n’est pas toujours évident non plus. Il faut qu’il y ait une chimie, une bonne entente, un potentiel de complicité, voire une sorte de «modus vivendi» cycliste que je n’arrive pas à retrouver en grand groupe. Trop c’est comme pas assez. Je suis plus introverti qu’extraverti et ma «batterie sociale» connaît des limites. J’ai déniché cette image que je me permets de déposer ici. Je trouvais qu’elle me représentait parfaitement.

Étant particulièrement friand de Youtube, entre autres intérêts que je nourris,  je suis abonné aux chaînes traitant de voyage à vélo. Je commente souvent, toujours de manière appréciative ou constructive, et parfois les échanges avec les créateurs engendrent de réelles surprises. Sachez que je ne nommerai pas encore la personne avec qui je me suis lié «d’amitié», ni la chaîne, ni même les destinations au programme de l’été 2023. Eh oui! Destinations au pluriel.
Dès le mois de mai, je pourrai donc mettre à l’épreuve cette nouvelle relation amicale, pas à deux, mais bel et bien à quatre car d’autres, comme moi, ont manifesté un vif intérêt de se joindre à nous. Ce sera une sorte d’épreuve d’initiation, mais après déjà plusieurs rencontres virtuelles, j’ai confiance que cette étonnante tournure portera ses fruits. J’y reviendrai, évidemment. 

Voici la suite logique de mon dernier blogue. Je vous parlerai donc de cadre de vélo et de projets de voyage à vélo en devenir. Les deux aspects abordés ici comportent toutefois des tournures inattendues, l’une financière et pratique, et l’autre, disons, sociale. Mais tout d’abord, je suis enchanté de vous dire que je vois maintenant parfaitement d’un œil et que la chirurgie pour l’autre, le droit, devrait avoir lieu sous peu. J’y vois enfin plus clair et en profite pour saluer la sympathique et jolie Aude, une collègue de travail, que je n’ai même pas reconnue la dernière fois que je l’ai croisée. Comme elle semble me lire, elle était au courant de ma situation et m’a pardonné cet impair. Un petit clin d’œil à ton égard donc, chère Aude, sans jeu de mots.

Dans mon dernier blogue, si vous l’avez lu, je vous ai raconté avoir fissuré le cadre en carbone de mon Trek Domane. Je vous ai aussi mentionné ne pas trop savoir si je m’en achèterais un neuf. Or, j’ai tout de suite entrepris les démarches pour lui trouver un cadre de remplacement auprès de Trek en suivant la démarche officielle proposée par Vélozophie. Vous trouverez tous les détails de cette démarche sur le site web de la boutique. Bref, Trek m’a en effet fait une proposition plus que correcte compte tenu que j’étais l’unique responsable de mes déboires. Or, je n’ai pas réfléchi plus longtemps qu’il ne faut car, en toute honnêteté, je me suis retrouvé devant une alternative: choisir un cadre en carbone neuf, coûteux malgré tout, ou bien investir dans de l’équipement dont j’ai besoin pour mes voyages à vélo, dont une tente neuve. J’ai opté pour la deuxième option, mais n’ai pas pour autant mis une croix sur un nouveau cadre, bien au contraire.

C’est en visitant le site web de Norco que j’ai déniché un cadre de Section en… chromoly Reynold’s 725. Ben oui! Du chromoly. Beaucoup de cyclistes boudent l’acier sous toutes ses formes depuis l’avènement de l’aluminium et du carbone. Or, si on n’est pas, ou n’est plus esclave du poids de notre bécane, le chromoly retrouve ses lettres de noblesse. Moins cher, tout en étant souple et résistant, le chromoly comporte surtout l’avantage de pouvoir être réparé, sans trop de chichi. Pas étonnant que ce soit le matériau de choix des cyclotouristes qui, bon an mal an, y attachent paniers et sacs de toutes sortes, chargent leur bécane, pour ne pas dire la surchargent. Le plus beau dans tout ça? C’est que grâce à l’équipe de Vélozophie, j’ai pu y transférer les composants du Domane, pédalier, guidon, étriers, etc., et ce vélo se retrouvera tout de même chaussé de ma superbe paire de roues en carbone Aeolus XXX de Bontrager. Après la déception vient donc la satisfaction de me retrouver avec un autre vélo «d’endurance». Que voulez-vous? L’idée de me résigner à ne posséder qu’un seul vélo «de route» me chicotait au point de nuire à mon sommeil. Bon. J’exagère un brin, mais quand même…

Ah les voyages à vélo! Vous font-ils rêver? Moi, oui. Je ne pense qu’à ça, ou presque. Alors que j’adore voyager seul, ce n’est pas toujours idéal pour bien des raisons. Toutefois, voyager en groupe, voire simplement rouler en groupe, n’est pas toujours évident non plus. Il faut qu’il y ait une chimie, une bonne entente, un potentiel de complicité, voire une sorte de «modus vivendi» cycliste que je n’arrive pas à retrouver en grand groupe. Trop c’est comme pas assez. Je suis plus introverti qu’extraverti et ma «batterie sociale» connaît des limites. J’ai déniché cette image que je me permets de déposer ici. Je trouvais qu’elle me représentait parfaitement.

Étant particulièrement friand de Youtube, entre autres intérêts que je nourris,  je suis abonné aux chaînes traitant de voyage à vélo. Je commente souvent, toujours de manière appréciative ou constructive, et parfois les échanges avec les créateurs engendrent de réelles surprises. Sachez que je ne nommerai pas encore la personne avec qui je me suis lié «d’amitié», ni la chaîne, ni même les destinations au programme de l’été 2023. Eh oui! Destinations au pluriel.

Dès le mois de mai, je pourrai donc mettre à l’épreuve cette nouvelle relation amicale, pas à deux, mais bel et bien à quatre car d’autres, comme moi, ont manifesté un vif intérêt de se joindre à nous. Ce sera une sorte d’épreuve d’initiation, mais après déjà plusieurs rencontres virtuelles, j’ai confiance que cette étonnante tournure portera ses fruits. J’y reviendrai, évidemment.